Alors que la répression violente de la population dissidente se durcit au Myanmar et que les arrestations et détentions arbitraires de plusieurs centaines de citoyens se poursuivent, les responsables du coup d’État militaire envisagent désormais d’instaurer une nouvelle loi sur la cybersécurité qui placera l’ensemble de la population sous surveillance permanente et supprimera la liberté d’expression.