La CSI et la CES condamnent les meurtres perpétrésà Athènes
La Confédération syndicale internationale (CSI) et la Confédération européenne des syndicats (CES) ont condamné les meurtres, perpétrés hier, de trois employés de banque grecs et les blessures causées à plusieurs autres, en les qualifiant d’atrocité révoltante, ce qui est à l’antithèse d’une protestation légitime.
Des millions de travailleurs demandent le désarmement nucléaire
Suite à l’ouverture, hier à New York, du Sommet sur le désarmement nucléaire de l’ONU, des représentants syndicaux internationaux présenteront aujourd’hui au secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, une pétition pour le désarmement nucléaire signée par plus de 6,7 millions de travailleurs et travailleuses. Cette pétition sur papier et en ligne intitulée « Plus d’armes nucléaires » est le fruit d’une action de campagne menée conjointement par la CSI, son affiliée japonaise RENGO et la fédération syndicale internationale UNI.
Déclaration du Premier mai 2010 - De la crise à la justice globale
Des décennies de déréglementation, d’avidité et de spéculation mercantiliste ont plongé le monde dans une récession économique profonde, entraînant des répercussions effroyables pour les travailleurs et leurs familles aux quatre coins du globe. Déjà 34 millions d’emplois perdus et on n’est pas près de voir le bout du tunnel. Avec 64 millions de personnes supplémentaires acculées à l’extrême pauvreté, l’objectif de l’abolition de la pauvreté dans le monde semble toujours plus inaccessible.
Les syndicats sauvent des vies : tel est le message du 28 avril
les syndicats, les travailleurs et leurs communautés se mobilisent en ce 28 avril 2010 afin de commémorer la mémoire des travailleurs qui ont perdu la vie ou ont été blessés et de lutter pour une meilleure protection de la santé et de la sécurité au travail.
Turquie : Appel à la protection des défenseurs des droits humains contre la persécution et les menaces
À ce jour, les violations des droits syndicaux restent très répandues en Turquie. Outre l’absence quasi-totale de progrès en vue de l’établissement d’un cadre juridique garantissant le plein respect de ces droits conformément aux normatives de l’UE et des Conventions de l’OIT, les droits de grève et de négociation collective restent frappés de sévères restrictions. Les employeurs font pression pour contraindre les salariés à se désaffilier des syndicats, cependant que l’ingérence dans les affaires internes des syndicats est pratique courante.