Pour le mouvement syndical international, le « G20 est de retour ». Les dirigeants ont, une nouvelle fois, pris la mesure des tensions existantes dans leur propre pays. Les progrès découlent de la rencontre de délégations syndicales avec 14 chefs de gouvernement, avant et pendant le sommet, et avec les dirigeants de toutes les principales instances multilatérales, dont les Nations Unies, l’Organisation internationale du Travail, la Banque mondiale, l’Organisation de coopération et de développement économiques, l’Organisation mondiale du commerce et le Fonds monétaire international.