Les confédérations syndicales internationales et européennes (CSI et CES) soulignent qu’elles condamnent le coup d’Etat manqué, et insistent sur le fait que « l ’état d’urgence» ne peut pas être utilisé pour porter atteinte à la démocratie, aux droits humains et à la primauté du droit. Le coup d’Etat manqué devrait être une raison de faire respecter, et non de violer, les conventions de l’OIT et des conventions internationales et européennes sur les droits de l’homme.
La CSI et la CES se félicitent de la libération subséquente des journalistes, mais maintiennent leur condamnation sur l’interdiction d’un journal et l’arrestation de journalistes.