Cher Monsieur Ryder,
Je tiens à vous féliciter vivement de votre élection au poste de Secrétaire général de la Confédération syndicale internationale.
La fusion d’organisations faîtières internationales et nationales en vue de former la Confédération syndicale internationale est la réaction logique des travailleurs à la mondialisation persistante dans pratiquement tous les domaines de la société. J’apprécie particulièrement que les syndicats internationaux joignent les rangs pour lutter en faveur de tâches si urgentes, telles que la création d’emplois décents, l’élimination de la pauvreté, l’abolition de l’inégalité nationale et internationale, et œuvrer pour la croissance et une juste répartition des revenus.
J’espère de tout cœur que la Confédération syndicale internationale – dans l’intérêt des travailleurs dans le monde entier – enverra des signaux clairs et deviendra dès lors un partenaire indispensable aux organisations politiques, économiques et autres organisations internationales.
Je vous souhaite bonne chance et plein succès dans votre poste à haute responsabilité et vous prie d’agréer, cher Monsieur Ryder, l’expression de mes salutations bien fraternelles.
Franz Müntefering
Ministre de Travail de l’Allemagne, à Guy Ryder