Les autorités israéliennes justifient cette attaque en soutenant que la ville est un bastion du terrorisme.

Le 21 juin dernier, le secrétaire général des Nations unies António Guterres, déplorant une recrudescence des violences en Cisjordanie, a condamné tout acte de violence contre des civils : « Israël, en tant que puissance occupante, doit veiller à ce que les populations civiles soient protégées contre toute forme de violence et faire en sorte que les responsables répondent de leurs actes ».

« Nous appelons à un cessez-le-feu immédiat et à une désescalade de cette nouvelle vague de massacres et de violences. Les affrontements ne cesseront qu’à partir du moment où Israël mettra fin à son occupation illégale des territoires palestiniens. »

« La seule issue équitable est une solution à deux États, conformément aux résolutions 242 et 338 du Conseil de sécurité des Nations unies, ainsi que la garantie d’un un véritable avenir économique pour un État palestinien indépendant, afin de mettre fin aux souffrances de son peuple », a déclaré Luc Triangle, secrétaire général par intérim de la CSI.

Dans une déclaration, la CSI exprime sa solidarité avec les travailleurs palestiniens et demande instamment que des mesures urgentes soient prises pour mettre fin aux violations des droits des travailleurs en Palestine.