NE LAISSER AUCUN TRAVAILLEUR
DE L’ÉCONOMIE INFORMELLE DE
CÔTÉ DANS LES MESURES FACE À
LA PANDÉMIE DU COVID-19
Malgré le fait qu’ils représentent 60 % de la main d’oeuvre mondiale, les travailleurs et travailleuses de l’économie informelle sont trop souvent laissés pour compte sans protection.
Les conséquences de la pandémie du COVID-19 ont détruit les moyens de subsistance des travailleurs et travailleuses de l’économie informelle, et les gouvernements ne peuvent pas les abandonner.
Conformément à la recommandation 202 de l’OIT, les minima de protection sociale universelle sont l’un des piliers de la réaction à la crise. Ils prévoient un revenu de base et l’accès aux services sociaux essentiels, entre autres dans les domaines de la santé et de la sécurité alimentaire.
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