Au Brésil, la mobilisation vise à soutenir la réduction de la semaine de 40 heures sans baisse de revenu, la négociation collective dans le secteur public et la fourniture de services publics de qualité, en particulier dans les secteurs de l’enseignement, de la santé et des transports. Les syndicats brésiliens ont notamment critiqué la manipulation exercée par les forces conservatrices, auxquelles appartiennent une grande partie des médias du pays, à l’égard des récentes manifestations autour des revendications sur les tarifs et les dessertes des transports publics.
Au Chili, la grève nationale organisée aujourd’hui par la centrale syndicale CUT est fortement soutenue par des groupes d’étudiant(e)s du pays. La CUT demande en particulier une restructuration des régimes de retraite en faveur d’un programme public, ainsi qu’une hausse de 30 pour cent du salaire minimum actuel. La CUT, tout comme les groupes d’étudiant(e)s, ont souligné l’importance d’une action unie pour obtenir des réformes dont le pays a grand besoin, à commencer par régler le problème considérable de l’inégalité, qui continue d’augmenter.
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