La CSI exhorte la communauté internationale à rester ferme sur toutes les conclusions provisoires (accessibles en anglais).
L’année dernière, la Commission n’est pas parvenue à un accord parce que des gouvernements conservateurs contestaient le principe même d’égalité des genres. «Cela ne peut pas recommencer!» a dit Sharan Burrow, la secrétaire générale de la CSI, en dénonçant les attaques actuelles à l’encontre des droits des femmes et les réductions des budgets consacrés aux questions relatives aux femmes.
La délégation syndicale qui se rendra à New York, composée de 100 femmes provenant d’Italie, du Sénégal, du Canada, du Royaume-Uni, de l’Angola, du Maroc, du Brésil, de Singapour, de Colombie et d’autres pays, priera instamment les gouvernements d’assumer leurs obligations internationales et nationales en matière de prévention et d’élimination de la violence à l’égard des femmes et des filles.
Le lundi 11 mars, un nouveau rapport réalisé par la CSI et ONU Femmes – “Domestic Workers Count Too: Implementing Protections for Domestic Workers” (Les travailleurs/euses domestiques comptent aussi: Comment protéger les travailleurs/euses domestiques) – sera présenté officiellement en marge de la 57ème session de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies à New York.
Lire la déclaration du groupement Global Unions à la Commission UNCSW57
Equal Times a édité un rapport spécial sur la violence à l’égard des femmes