Confronté à la pression croissante des manifestations de masse contre l’austérité, le gouvernement chilien a annoncé qu’il n’accueillerait pas les deux grands sommets internationaux. Le gouvernement a finalement cédé aux appels à l’annulation du sommet commercial de l’APEC, prévu mi-novembre, et de la conférence sur le climat COP25 de l’ONU en décembre, suite à l’indignation de la communauté internationale en réaction à la répression brutale de manifestants.